jeudi 9 juillet 2015
L’escale à Marina di Campo s’avère ultra rapide. La houle est impressionnante et insupportable, j’ai même peur d’ouvrir le placard pour prendre une tasse de café, tellement le bruit provenant de l’intérieur est menaçant. Certains de nos voisins sont déjà partis durant la nuit, d’autres ont eu le courage (ou seulement la flemme) d’attendre le lever de soleil, mais maintenant, à 7 heures du matin, on est tous sur les ponts avant pour lever les ancres de nos bateaux et quitter ces montagnes russes sur l’eau. Nous partons sur les traces de Costa Concordia : cap sur Giglio !